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Médias britanniques : L'inflation élevée aggrave la “pauvreté d'hygiène” des femmes africaines.

Le réseau de nouvelles de référence a rapporté le 18 août. Selon un rapport sur le site Web de Thomson Reuters Foundation au Royaume-Uni le 16 août, l'étudiant ghanéen de 15 ans Juliette Opoku a été par le passé humilié par sang sur son uniforme scolaire, ainsi elle serait absente tous les mois. La classe a duré pendant environ une semaine parce que ses parents ne pourraient pas se permettre d'acheter les protections sanitaires pour elle.

Dans le pays d'Afrique occidentale, où l'inflation est environ 32 pour cent, le prix d'un paquet de protections sanitaires a davantage que doublé au cédi 12 du cédi 5 ghanéen ($0,59) l'année dernière, forcer des sociétés comme de pauvres familles d'Oppo comme la famille de Ku peut seulement dépenser leur argent en nourriture plutôt que des produits d'hygiène.

« J'ai joué l'élève absentéiste parce qu'une fois que mon uniforme scolaire devenait sale au cours de ma période et les garçons faisaient l'amusement de moi. Il m'a incité à perdre ma confiance, » Opoku a dit.

« Les protections sanitaires sont si chères… j'emploient parfois le papier hygiénique, des couches-culottes ou des bandes de bébé au cours de ma période, » elle a dit.

L'inflation globale a soulevé le coût de protections sanitaires dans beaucoup de pays africains, forçant plus de filles à employer les solutions de rechange peu hygiéniques qui peuvent mener à l'infection et la stérilité, les experts en matière de santé et les charités indiquent.

ActionAid, qui préconise pour des femmes et des filles, a constaté que le prix d'un paquet de protections sanitaires a sauté 117 pour cent au Zimbabwe et 50 pour cent au République démocratique du Congo en avril comparé à janvier.

Les charités indiquent que ceci pourrait avoir de grandes conséquences pour des millions de filles africaines - affectant leur éducation, santé et dignité, les forçant probablement pour s'engager dans le sexe trafiquant avec des hommes plus âgés - et inégalité de genre finalement d'exacerbation.